En Tunisie, un nouveau projet de loi sur les associations suscite des inquiétudes au sein de la société civile. Ce projet de loi, dont les détails n'ont pas été précisés dans l'article, semble menacer les acquis de la Révolution tunisienne.
Zohra Zimoumi, une mère de deux fillettes âgée de 38 ans, en est un exemple concret. Cette femme, qui fabrique des tapis et des bijoux à Nefta (extrême sud) vendus à Tunis, reçoit un salaire mensuel régulier. Ce revenu lui permet de payer son loyer et d'assurer une vie décente à sa famille, un acquis qu'elle attribue à la Révolution.
Les associations, comme celle qui soutient Zohra Zimoumi, jouent un rôle crucial dans la société tunisienne. Elles contribuent à l'amélioration des conditions de vie de nombreuses personnes, en particulier dans les régions défavorisées.
Cependant, le nouveau projet de loi pourrait mettre en péril ces avancées. La société civile craint que ce projet de loi ne restreigne leur champ d'action et ne limite leur capacité à soutenir les populations vulnérables.
Pour l'instant, les détails du projet de loi restent flous. Il est donc essentiel de suivre de près l'évolution de cette situation, qui pourrait avoir des conséquences significatives sur la société tunisienne et sur les acquis de la Révolution.
Source : https://www.lemag.africa/mafrique/i/78720036/tunis...