Les chatbots AI imitent de plus en plus les traits et les personnalités humaines, selon une étude récente

- Une étude récente révélée par la revue PNAS a montré que les chatbots AI sont de plus en plus semblables aux humains.

- Les modèles notables comme ChatGPT-3 et ChatGPT-4 développés par OpenAI ont démontré des avancées remarquables dans leur capacité à imiter les caractéristiques humaines.

- Les chercheurs ont étudié les chatbots AI en analysant les données de plus de 108 000 personnes dans le monde et en observant leur comportement dans divers jeux.

- ChatGPT-4 a agi de manière similaire aux humains, voire mieux dans certains cas, montrant de l'empathie et prenant des décisions stratégiques.

- L'étude suggère que l'IA pourrait être utile dans divers emplois, mais soulève également des préoccupations éthiques et la nécessité de faire plus de recherches.

Une nouvelle étude publiée dans la revue PNAS a révélé que les chatbots d'intelligence artificielle (IA) sont de plus en plus capables d'imiter les traits et les personnalités humaines. Les modèles les plus avancés, tels que ChatGPT-3 et ChatGPT-4 développés par OpenAI, ont montré des avancées significatives dans leur capacité à parler, à offrir des conseils et même à générer de nouvelles pensées, tout en agissant de manière empathique et en prenant des décisions stratégiques dans divers jeux.

L'étude, menée par une équipe de chercheurs, a porté sur les données de plus de 108 000 personnes dans le monde et a observé le comportement des chatbots dans divers jeux testant des aspects tels que la gentillesse et l'équité. Les résultats ont montré que ChatGPT-4 agissait de manière similaire aux humains, et parfois même mieux, démontrant une capacité à comprendre et à répondre aux émotions humaines.

Cependant, l'étude a également soulevé des préoccupations éthiques quant à l'utilisation de l'IA dans divers domaines, tels que le service clientèle et le conseil. Les chercheurs ont souligné la nécessité de poursuivre les recherches et de collaborer avec des technologues, des éthiciens et des décideurs politiques pour s'assurer que l'IA bénéficie à la société sans créer de problèmes.